Voulez-vous estimer votre salaire en tant que consultant indépendant ? Dans ce cas, pourquoi ne pas faire une simulation de portage salarial ? Quels sont les facteurs que vous devez prendre en compte lors de votre calcul ? Ci-après les réponses.
Les étapes à suivre pour calculer votre salaire
Vous pouvez calculer votre salaire en tant que salarié porté en quelques étapes. D’abord, vous devez déterminer votre taux journalier moyen ou TJM. Multipliez ensuite ce montant par le nombre de jours facturables dans le mois pour obtenir votre chiffre d’affaires mensuel. Puis, vous devez prélever de cette somme vos charges sociales et les frais de gestion de la société de portage.
Une fois ces opérations effectuées, vous devez encore déduire vos frais de mission et de fonctionnement de la valeur obtenue. Ce sont les dépenses en rapport avec votre activité, telles que vos frais de déplacement, vos repas, votre matériel, etc.
Notez que vous pouvez également vous servir de cet outil pour effectuer la simulation de salaire en portage salarial. Vous pouvez ainsi anticiper votre revenu net en vous appuyant sur votre TJM réel.
Les points considérés dans le calcul
Vous devez tenir compte de quelques paramètres lors de la simulation en portage salarial de votre salaire. Parmi ceux-ci, il y a :
- Les charges salariales et patronales :
Elles sont directement prélevées de votre salaire brut et versées aux organismes collecteurs. Mais grâce à ces cotisations, vous pouvez accéder à une complémentaire santé plus avantageuse, vos soins sont remboursés, vos trimestres pour l’ouverture de vos droits à la retraite sont validés, etc. - Les frais professionnels :
Comme vous l’avez vu précédemment, ce sont les dépenses nécessaires à votre activité. Ils sont généralement remboursés et ne sont pas soumis aux cotisations sociales. - Les prélèvements fiscaux :
Ils peuvent être des taxes spécifiques, comme le TVS ou encore l’impôt sur le revenu. - Les frais de gestion :
L’entreprise de portage salarial les déduit de votre revenu en échange de ses services. Les coûts additionnels, comme les taxes et les assurances, en font également partie.
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