La quotité cessible mensuelle est fixée par la loi

La part maximale fixée par la loi de retenue sur le salaire est de un tiers. Mais le banquier va raisonner en termes de montant restant disponible pour vivre après la retenue. Pour cela, il va étudier le profil de l’emprunteur, qui comprend ses revenus, son taux d’endettement et ses charges normales régulières pour vivre. Il s’agit donc d’argumenter par une surface financière importante qui va le rassurer sur la solvabilité de l’emprunteur. En fait, la banque cherche à être assurée de percevoir les mensualités de remboursement. Ce n’est donc pas tant le capital disponible instantané qui intéresse la banque, mais la disponibilité régulière du montant nécessaire au paiement de la mensualité, y compris les charges financières récurrentes. La disponibilité dans la durée passe également par la durabilité des revenus, c’est-à-dire que l’échéance ne pourra pas aller au-delà de la période d’activité, par exemple.

Les facteurs négociables dans le prêt immobilier

Le premier facteur est évidemment le montant emprunté. La banque a intérêt à ce qu’il soit le plus élevé mais jusqu’à la limite de la capacité de remboursement de l’emprunteur. C’est ce facteur qu’il doit gérer en premier. Le banquier exige en général un apport personnel qui va couvrir les frais de notaire et les frais de garantie. Plus cet apport est important, plus il est facile d’obtenir un taux d’emprunt intéressant. Pour les non-salariés, les banques exigent souvent des avoirs immobiliers comme garantie. D’une manière générale, un taux d’endettement inférieur à 15% est largement favorable pour obtenir un prêt. Par ailleurs, le banquier sera attentif à l’historique de gestion du compte. S’il démontre des découvertes récentes, il sera plutôt difficile de convaincre le banquier. L’autre facteur à négocier est le taux d’emprunt en argumentant sur les apports, la durée et la garantie.

Agence sous forme d’entreprise individuelle

Rares sont les investisseurs en immobilier qui choisissent ce statut juridique. Cependant, c’est un statut qui représente quelques avantages indéniables. D’abord, il n’exige aucun dépôt de capital initial. C’est déjà un bon point, dans le cas où vous avez un souci concernant le fond de départ nécessaire.
Le second avantage est sa simplicité de fonctionnement au niveau de la démarche et des exigences. Si vous êtes débutants dans le domaine, et que si votre capital est limité, voire inexistant, c’est le statut qu’il vous faut.
Cependant, avec le statut d’entreprise individuelle, vos biens ne sont pas dissociés. La création de votre activité dépend entièrement de votre patrimoine personnel. Elle constitue tous vos actifs. C’est différent si vous optez pour une Entreprise Individuelle Responsabilité Limitée ou EIRL. Les risques encourus sont plus limités.

Agence immobilière sous forme de société

La majorité des investisseurs en immobilier choisissent ce statut juridique. La garantie financière est plus assurée étant donné que vous avez des collaborateurs. Vos biens sont dissociés dans ce cas, donc c’est plus sécuritaire. Toutefois, un capital de départ est exigé. De plus, les nombres d’associés sont déterminés au préalable.
En forme de société, votre agence immobilière dispose de trois choix de statuts juridiques. SARL ou Société à Responsabilité Limitée pour un capital de départ de 1 euro. SA ou société anonyme pour un capital de départ de 37 000 euros. SAS ou Société par Action Simplifiée qui ne requiert pas un capital initial.

L’acquisition d’un bien immobilier via une agence

En rédigeant un cahier des charges en fonction de vos critères, de vos motivations et de votre budget, l’agence immobilière vous proposera des offres susceptibles de vous convenir. A part que l’agent immobilier facilite vos recherches, il maîtrise également les aspects juridiques des acquisitions. Il vous accompagnera aussi sur les divers financements existants, les frais de notaire et d’acquisition, les différentes charges. En tant qu’intermédiaire entre vous et le vendeur, l’agent immobilier vous guidera dans vos démarches et vous assiste dans toutes les étapes de l’acquisition.

Confier à un professionnel la vente de son bien

Indispensable pour une vente rapide, mais aussi pour obtenir une base pour votre projet, la fixation du prix de votre bien immobilier est essentielle. Grâce à leurs connaissances approfondies du marché et de la base de données des biens vendus, les agents immobiliers sont les professionnels les plus qualifiés qui peuvent vous fournir les évaluations immobilières les plus précises. Outre les conseils sur mesure d’un agent immobilier, les photos ainsi que la présentation du bien sont aussi des avantages non négligeables pour attirer un maximum de demandes de visite. Les agents immobiliers peuvent également apporter leur soutien dans les procédures juridiques de plus en plus compliquées. Enfin, recourir au service d’une agence immobilière, c’est s’assurer que toutes les conditions de vente sont réunies, lors de la signature chez le notaire.
Vous l’aurez compris, recourir au service d’une agence immobilière peut vous faire gagner beaucoup de temps et vendre votre bien immobilier plus rapidement.

Qu’est-ce qu’une maison passive ?

Une maison passive est un concept qui permet de se rapprocher encore plus de ce qu’est un véritable logement écologique. Il s’agit globalement d’un logement dont le besoin en chauffage ne doit pas dépasser 15 kWh/m²/an. Son besoin en énergie primaire doit quant à lui, être inférieur à 120 kWh/m² par an. Ces objectifs énergétiques ne peuvent être atteints que lorsque le bâtiment adopte une architecture bioclimatique. L’habitation doit offrir un confort optimal en hiver et utiliser au maximum un système de régulation naturelle pour rester au frais l’été.

À quoi sert la maîtrise d’œuvre thermique et fluides ?

Sachez que la maîtrise d’oeuvre thermique et fluides (ou maître d’œuvre) a pour rôle d’effectuer des études en vue de garantir le confort thermique de la maison. Grâce à son expertise, le maître d’œuvre est en mesure de déterminer la manière dont la maison passive doit être conçue. Il doit notamment se pencher sur les différentes ouvertures à instaurer (portes et fenêtres), l’étanchéité de l’habitation, sa ventilation et sa consommation en énergie.

Le budget à prévoir pour une maison passive

Peu importe les conclusions du maître d’œuvre, une maison passive vous revient toujours très cher. Il faut en effet mettre en place de nombreuses installations complexes et onéreuses afin d’offrir à la maison son caractère passif. La quantité de vitrage doit par exemple être très élevée pour profiter plus facilement des rayonnements solaires. En plus, il est souvent nécessaire de faire appel au triple vitrage. Pour la ventilation, une VMC à double flux peut être nécessaire. Bref, une maison passive coûte jusqu’à 25 % de plus qu’une maison classique.

Le point sur le prix

Vous trouvez que le prix proposé pour le bien immobilier que vous convoitez semble correct. Mais avant de vous engager, menez tout de même une petite enquête pour vous assurer que le prix annoncé correspond bien au marché local. Prenez quelques semaines pour éplucher les petites annonces des professionnels et des particuliers pour voir et comparer les prix. Au fur et à mesure que de nouvelles offres apparaissent, vous aurez une idée encore plus claire et plus précise des prix actuels. Sur certains sites d’agences immobilières, vous avez la possibilité de géolocaliser les offres. Ainsi, vous aurez une vue sur le quartier, sur la rue, et avec les caractéristiques du bien, vous verrez quels prix sont appliqués.

Vérifiez l’état du bien

Lors de votre visite du logement à acheter, les défauts vous ont sans doute sauté aux yeux, mais bien sûr, vous en avez aussi remarqué les atouts. Sauf que, même après une deuxième ou une troisième visite, il est possible que vous manquiez certains vices cachés. Donc, ne vous contentez pas de quelques visites, il s’agit tout de même d’un investissement pour la vie. Alors, rendez-vous sur les lieux à plusieurs reprises et à différentes heures de la journée pour voir le logement sous tous ses angles. Inspectez soigneusement les lieux pour voir s’il n’y a pas de nuisibles et de rongeurs, s’il y a de l’amiante ou du plomb, des champignons ou des termites.

Un agent immobilier doit être tenace

La ténacité est la première qualité requise dans n’importe quel domaine de travail. Toutefois, elle doit être doublée quand vous êtes un agent immobilier. Vous devez faire preuve d’une grande persévérance. Pourquoi faut-il être persévérant ? Certainement, car vos produits immobiliers ne se vendent pas à petit prix. De ce fait, les clients peuvent douter et remettre leur achat à plus tard, au pire se tourner vers un autre bien. Mais pour éviter ces doutes, vous devez donc être tenace et convaincre vos clients que le service qu’ils obtiendront sera à la hauteur de leurs attentes. Vous devez aussi convaincre vos clients en prouvant que vos produits sont supérieurs à celui que lui réserve la concurrence. Mais le plus important pour bien percer dans le domaine de l’immobilier, c’est le fait de tenir fortement à vos projets.

Maintenir un contact permanent avec les clients

L’avantage dans le travail d’agent immobilier est le gain. Plus vous travaillez, plus vous gagnez. Dans tous les cas, ce n’est pas facile pour autant. Voulez-vous gagner dans l’immobilier ? ou désirez-vous acquérir une réputation dans le domaine ? Si les réponses sont affirmatives, il vous faut suivre quelques conseils. Maintenir un lien professionnel avec les clients est la meilleure solution pour percer dans le domaine du travail. Vous devez savoir communiquer avec eux et les inciter afin qu’ils achètent vos produits. Soyez courtois, poli, professionnel et vous allez voir qu’ils signeront assez vite des contrats de vente. Satisfaire les clients par les qualités de vos services est aussi à tenir compte si vous voulez percer dans ce travail. Mais surtout, il faut savoir préparer soigneusement les rendez-vous pour ne pas perdre les clients.

Le respect des délais grâce à la garantie de livraison

Parmi les différentes assurances obligatoires énoncées dans votre contrat, le prestataire doit proposer la garantie de livraison. Et cette dernière prend effet dès le début des travaux.
Cette garantie vous donne la possibilité de couvrir les éventuelles sommes supplémentaires à débourser pour finaliser la construction et de bénéficier de pénalités de retard si la livraison se fait 30 jours après la date limite.

L’assurance d’une construction de qualité, dès la réception jusqu’à 10 ans après l’arrêt du chantier

L’un des soucis pour les propriétaires qui veulent faire construire est la fiabilité et la qualité du bien livré ainsi que les éventuelles défectuosités qui passent inaperçues à la réception. Afin de vous protéger de ces risques, la loi impose au prestataire d’intégrer plusieurs garanties au contrat.
Parmi laquelle la garantie de parfait achèvement qui est valable pendant une année après réception de la maison. Elle vous donne l’assurance que le prestataire de construction réalisera les travaux nécessaires pour les défauts remarqués après la livraison.
Il y a aussi la garantie de bon fonctionnement ou biennale valable pendant 2 ans. C’est une garantie concernant les équipements de la maison qui peuvent être modifiés ou réparés sans endommager l’ouvrage.
Enfin, l’assurance décennale qui est valable pour 10 ans. C’est une assurance obligatoire pour le constructeur concernant les problèmes en rapport avec les gros œuvres remettant en cause la solidité de la maison.

La garantie d’une retraite sereine

Quoi de mieux que s’éloigner de l’atmosphère urbaine pour apprécier sa retraite ? En effet, la campagne apporte un cadre calme et apaisant. Investir dans une maison de campagne est idéal si vous souhaitez vivre votre retraite éloignée du bruit. De plus, cela permettra d’accueillir ses enfants et ses petits enfants, afin de créer de beaux souvenirs de famille. La campagne est connue pour sa convivialité et sa communauté soudée, du coup, vous y serez en sécurité. Cependant, on n’est jamais trop prudents. Ainsi, adopter un chien est une bonne idée afin de renforcer la sécurité et calmer vos potentielles craintes.

Vivre à la campagne pour se rapprocher d’autrui

Comme mentionné plus haut, vivre à la campagne est synonyme de convivialité. En ville, cette chaleureuse atmosphère se sent moins. En effet, ce n’est pas tout le monde qui répondra à un bonjour lancé amicalement dans la rue. Pourtant, en campagne on est dans de petites communautés et presque tout le monde se connaît. De cette façon, on tisse des liens avec ses voisins et l’on s’entraide en cas de problèmes. Si la tuyauterie fuit, demander un coup de main à l’entourage est moins angoissant que lorsque cela nous arrive en ville, où l’on doit appeler un plombier pour régler le problème. Ainsi, hormis les problèmes de plomberie, vivre à la campagne permet de se sentir plus proche de ses confrères humains.

Ouvrir une agence immobilière : quelles sont les conditions d’ouverture à respecter ?

Pour ouvrir une agence immobilière, vous devez être titulaire d’un diplôme d’agent immobilier ou avoir une expérience dans le domaine. Vous devez ensuite mettre en place votre structure immobilière. Pour cela, vous devez déclarer votre entreprise au Tribunal du Commerce. Vous devez également créer un compte social, déposer le capital et réaliser toutes les démarches administratives y afférentes.
Vous aurez également besoin d’une carte professionnelle avec le titre « Transaction sur immeubles et fonds de commerce et « gestion immobilière ». L’attribution de la carte dépend surtout de votre expérience dans le domaine de l’immobilier. Vous devez vous assurer d’avoir toutes les garanties financières nécessaires pour restituer les fonds déposés lors de la création de l’agence immobilière. Vous devez également souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle (obligatoire depuis la loi Hoguet de 2 janvier 1970) pour minimiser les risques corporels et matériels.
Vous devez vous rendre à la préfecture de votre région avec tous les documents nécessaires. Une fois les dossiers déposés, vous pouvez vous dire que votre agence immobilière a été créée. Vous devez ensuite créer des comptes réglementés pour les transactions et les mandats immobiliers. Vous devez également avoir un livret de compte.
Pour faire fonctionner correctement votre agence immobilière, vous devez disposer de certaines qualités humaines, morales et commerciales. Les débuts ne seront pas évidents même si vous avez un talent inné. Vous devez être flexible et compréhensif face aux situations. Vous devez êtres aptes de gérer votre trésorerie de manière à ce que vous puissiez faire face aux imprévues. Vous devez être capable de faire fonctionner votre agence immobilière durant la période de lancement et l’arrivée de vos premières transactions.

Une agence franchisée ou indépendante ?

Que vous choisissiez d’ouvrir une agence indépendante ou franchisée, ces deux solutions leurs avantages et inconvénients. En choisissant la franchise, vous devez payer un pourcentage sur chaque vente immobilière que vous effectuerez. Cette somme sera alors versée dans le compte de la franchise. Par contre si vous êtes indépendant, cet argent sera déposé sur votre compte. Avec une franchise, vous avez la possibilité de profiter de la notoriété de la Franchise que vous avez choisie, alors que si vous décidez de créer votre propre agence, vous devez travailler dur pour vous faire connaître et gagner une notoriété.

Quelle VMC installer dans un bâtiment collectif??

Le marché propose différents types de systèmes de ventilation. Pour une meilleure performance énergétique, il convient de se tourner vers des systèmes de renouvèlement d’air, adaptés aux collectivités et à la rénovation énergétique. Dans ce cas, l’utilisation d’une VMC à flux hydroréglable ou double flux est le plus appréciée. La VMC hydroréglable offre l’avantage d’être peu onéreuse. Qui plus est, elle est facile à installer. Ce type d’installation offre également une performance intéressante dans la mesure où il limite le gaspillage d’énergie. Par ailleurs, une VMC hydroréglable réduit la ventilation en période d’inoccupation du logement et en fournissant une rapide évacuation d’air en cas d’occupation.

Avec une VMC double flux, il est possible de réduire les déperditions de chaleur occasionnées par la ventilation. En effet, ce système récupère 90 % des calories de l’air pollué et les réutilise pour chauffer l’air filtré provenant de l’extérieur. Mais le problème avec ce type de système, c’est qu’il consomme presque 3 fois plus qu’une VMC hydroréglable. Qui plus est, sa mise en place requiert un dédoublement du réseau de ventilation préexistant.

Mais quel que soit le type de VMC choisi pour un bâtiment collectif recevant du public, il faut confier son installation par des professionnels tels que Les Compagnons du Vent. Ce dernier intervient dans le Finistère, dans le Morbihan.

Les conditions d’installation d’une VMC

Conformément aux conditions établies par le CETIAT, le bâtiment collectif où sera installé le système de ventilation doit faire l’objet d’observations obligatoires. Son exposition aux bruits et au vent doit notamment être étudiée au préalable. Cela étant afin de trouver le système de ventilation qui convient le plus à l’environnement où se trouve l’immeuble. Il est également indispensable de vérifier si les conduits déjà existants dans le bâtiment sont en mesure d’accueillir le nouveau système de ventilation. Dans l’optique d’optimiser l’étanchéité de l’immeuble à l’air, il est préférable de procéder à des travaux d’isolements des parois du bâtiment en même temps qu’à la mise en place du VMC.